<<< Noordmeulen d'HONDSCHOOTE >> Se fiant à une inscription visible au premier étage, puisqu'il daterait de 1127 : C'est un gros édifice dont la cage fut élargie par plusieurs appentis accrochés à ses flans. Le grenier à farine posséde une paire de meules dont la vitesse de rotation était contrôlée par un régulateur à boules. Une belle sentence en capitales romaine y invite à la méditation :<<Buona la forza, meglo l'ingegno- 1832 >>(La force est bonne, le génie est meilleur). D'autres incriptions rappellent les différent meuniers qui se sont succédés ainsi que les dates où certaines piéces ont été changées. Un escalier aux marches branlantes permet d'accéder au grenier à meules : deux courantes, un concasseur à avoine et le monte-sacs y sont reliés à l'arbre moteur. Depuis qu'en 1890, on avait installé la meule à froment au grenier à farine, les meules visible ici ne servaient plus qu'à la mouture des céréales secondaires destinées aux animaux. Eugène Vercruyce fût le dernier meunier. Après la seconde guerre mondiale, il restaura complètement son moulin et l'entretient soigneusement jusqu'en 1959, l'année où il prit sa retraite. Les terribles bourrasques chargées d'humidité attaquèrent le bois. les ailes durent être enlevées. Sous l'impulsion de l'A.R.A.M., les travaux de rénovation ont été entamés. Nous y observons les reliefs baroques du pivot et les traces des dernières balles tirées pendant le siège de Dunkerque . Photographie prise par Hendricks . Le 19 janvier 1871 Moulin de Hazebrouck : A l'intérieur de la cage, on peut lire sur une poutre cette inscription en flamant : Si Dieu veut bien me préserver, moi moulin du shaack, De tonnerre, tempête et vent, Venez me voir dans cent ans, Vous me trouverez encore debout. << La Guerre 1870 -1871 >> Pour les moulins de flandres, les planches ont été enlevées par l'armée mobile afin de les brûler pour pouvoir faire chauffer du café avant les batailles : <<Beaucoup de moulins ont disparus>> Car il ne sont plus rentables ni entretenus. Les tempêtes et les terribles bourrasques chargées d'humidité attaquèrent le bois. Pendant les guerres ils on tégalement servis comme miradors et les toits étaient démontés pour l'installation de mitralleuses (en 14-18). Dans certains moulins on retrouve encore la trace d'anciennes balles de mousquets (en plomb du 17ème):
Se fiant à une inscription visible au premier étage, puisqu'il daterait de 1127 : C'est un gros édifice dont la cage fut élargie par plusieurs appentis accrochés à ses flans. Le grenier à farine posséde une paire de meules dont la vitesse de rotation était contrôlée par un régulateur à boules. Une belle sentence en capitales romaine y invite à la méditation :<<Buona la forza, meglo l'ingegno- 1832 >>(La force est bonne, le génie est meilleur). D'autres incriptions rappellent les différent meuniers qui se sont succédés ainsi que les dates où certaines piéces ont été changées. Un escalier aux marches branlantes permet d'accéder au grenier à meules : deux courantes, un concasseur à avoine et le monte-sacs y sont reliés à l'arbre moteur. Depuis qu'en 1890, on avait installé la meule à froment au grenier à farine, les meules visible ici ne servaient plus qu'à la mouture des céréales secondaires destinées aux animaux. Eugène Vercruyce fût le dernier meunier. Après la seconde guerre mondiale, il restaura complètement son moulin et l'entretient soigneusement jusqu'en 1959, l'année où il prit sa retraite. Les terribles bourrasques chargées d'humidité attaquèrent le bois. les ailes durent être enlevées. Sous l'impulsion de l'A.R.A.M., les travaux de rénovation ont été entamés. Nous y observons les reliefs baroques du pivot et les traces des dernières balles tirées pendant le siège de Dunkerque .
Photographie prise par Hendricks . Le 19 janvier 1871 Moulin de Hazebrouck : A l'intérieur de la cage, on peut lire sur une poutre cette inscription en flamant : Si Dieu veut bien me préserver, moi moulin du shaack, De tonnerre, tempête et vent, Venez me voir dans cent ans, Vous me trouverez encore debout. << La Guerre 1870 -1871 >> Pour les moulins de flandres, les planches ont été enlevées par l'armée mobile afin de les brûler pour pouvoir faire chauffer du café avant les batailles : <<Beaucoup de moulins ont disparus>> 
Car il ne sont plus rentables ni entretenus. Les tempêtes et les terribles bourrasques chargées d'humidité attaquèrent le bois. Pendant les guerres ils on tégalement servis comme miradors et les toits étaient démontés pour l'installation de mitralleuses (en 14-18). Dans certains moulins on retrouve encore la trace d'anciennes balles de mousquets (en plomb du 17ème):